A propos des concerts des 24 et 25/11/2012

Je ne sais vous, mais moi, j'ai une nouvelle fois eu des frissons (de plaisir, pas de froid....)à l'issue de nos 2 concerts.

Déjà, lors la première partie - "les Cloches de la Cathédrale de Strasbourg"-  j'ai ressenti une forte émotion de part la puissance qui s'était dégagée de la pièce, notamment au moment de "la victoire sur Lucifer " marquée par un puissante intervention des cuivres , suivi par un mouvement crescendo aboutissant à un chorus général très vigoureux..

Merci à Monsieur  Etienne Bardon pour sa direction magistrale ; il a réussi à nous transmettre sa passion et sa force de sorte à ce que nous réussissions  à faire passer  une forte émotion au public pour cette oeuvre singulière et insuffisamment connue  .

Et pour LA Grande Messe Solennelle de Sainte Cécile, j'ai ressenti (sûrement comme tous les choristes de Saverne, Strasbourg et Kehl (et les musiciens sûrement aussi) ) à la fois un sentiment de force, de plénitude puis d'appaisement tout au long des 5 tableaux de cette messe solennelle.

Merci à Jean Jacques Rohfritsch de nous avoir dirigé non moins magistralement pour cette messe..

Si nos prestations ont plu tant à Strasbourg qu'à Colmar, c'est bien entendu grâce notamment à la direction de nos deux chefs de ces soirs-là , mais aussi à l'engagement des choristes et musiciens .

Jean Hubert Fischer qui nous a fait travailler ces morceaux pas toujours évidents à interpréter ne doit pas être oublié dans cette histoire.

Je pense que les choeurs savernois et kehlois ainsi que les musiciens de la Philharmonie avec qui nous étions associés avons su produire un concert digne de ceux de nos glorieux anciens de la Chorale Strasbourgeoise.

Mais pour que les concerts puissent se tenir et bien se dérouler, et avant même que les choristes ne chantent, beaucoup de personnes s'impliquent généreusement et travaillent dans l'ombre ...Sans eux .. point de représentation..

Alors merci aussi à tous ceux qui ont oeuvré pour l'organisation des deux concerts , et ce pour le plus grand plaisir du public.

paco